D'une aboulie chronique et d'une indécrottable apathie, ce personnage, hanté par la nostalgie d'une enfance heureuse et insouciante, passe ses jours à s'incruster dans son meuble favori, un divan.
Chez le sujet déprimé, on observe un ralentissement, une anhédonie, une aboulie ou un apragmatisme, mais il existe une humeur triste et des idées négatives sur l'avenir qui sont spécifiques.
En cas d'aboulie, il y a intention d'agir et planification des tâches, mais leur exécution est rendue impossible, tandis que dans l'apragmatisme, la capacité même de « vouloir faire » est atteinte.