La poursuite alléguait que certaines stations locales avaient pris le pas sur l'émission, ce qui réduisait la portée de la publicité de l'entreprise de stylos.
Sa défense allégua qu'il avait mené une politique du moindre mal pour assurer l'approvisionnement de la ville et pour que la législation linguistique soit appliquée.
Le procureur général allégua que les distributeurs payaient pour obtenir un droit d'accès à un marché de services technologiques qui, en réalité, n'existe pas.