Dans tous les cas, l'entraînement régulier de l'organe atteint permet de limiter de manière notable la gêne occasionnée par l'ischémie : marche en cas d'artérite des membres inférieurs, rééducation cardiaque.
Un tiers des anévrismes sont fortuitement découverts, par exemple lors d'un bilan pour céphalées, d'une échographie de la prostate, d'un bilan pour artérite ou après un traumatisme.