Il s'agit d'éviter que leur viande ne développe lors de la cuisson une odeur de verrat jugée désagréable (entre 3 et 5 % d'entre eux la développeraient).
L’odeur de verrat découle principalement d'une accumulation dans les tissus adipeux d’androstérone et de scatol et dans une moindre mesure de molécules d'indole.
Pour une partie des consommateurs, sensibles à l'odeur de verrat, ce défaut de flaveur dans une viande cuite est toutefois rédhibitoire : pour eux, la viande est tout simplement immangeable.