Le public n’est pas un dépotoir où l’on expose les élucubrations de son imagination effrénée, voire les humeurs de son inconscient tout en les qualifiant d'œuvre d'art.
Une escalade médiatique allant des « élucubrations écolo-totalitaires les plus folles » à « l'économie du confinement à perpétuité » en passant par le « complot » a été à la mesure des inquiétudes des industriels.
L'absence de publication et d'artefact présenté à la communauté scientifique fait que cette dernière n'accorde aucun crédit à ce qu'elle considère comme des élucubrations grotesques.