L’horreur est dans l’intériorité des personnages, rendus énigmatiques, impénétrables à force de conformisme, et le narrateur ne peut que peindre leur extérieur.
Puis pour sauver son enfant, elle est amenée à s'enfuir et abandonner le confort de sa famille, obéissant en cela aux recommandations énigmatiques d'un guérisseur.