Aussitôt créés, les apothicaires s'organisèrent en corporations ou confréries, comme la plupart des métiers à cette époque, régies par des lois propres à chaque ville.
Malgré les succès de l'écorce de quinquina dans la lutte contre le paludisme, l'arbre demeurait toujours inconnu des botanistes européens et bien sûr des apothicaires.