La scène des différents apparatchiks écrivant chaque mot du dirigeant est diffusée à la télévision nationale, ce qui lui donne une image de profonde omniscience.
Ces établissements étaient réservés à des scientifiques, à des diplomates et à des représentants éminents de la culture et des apparatchiks importants.
Après avoir abandonné le commandement national, il fustige les « apparatchiks » du comité militaire et du commandement régional, à qui il refuse le droit de parler au nom de « son » parti.
Chercher une alternative au libéralisme occidental et au soviétisme (jugé trop rigide : « panzercommunisme », « capitalisme d'État », règne des apparatchiks, etc.).
À ce poste, qu'il quitte en 2000 pour favoriser le renouvellement, il est considéré comme « le dernier apparatchik du parti » et « l'homme de la mutation » et de l'ouverture du parti.
Dans les années 1970 et 80, le parti est dirigé par une nouvelle génération moins idéologue et plus pragmatique dont certains font surtout figure d’apparatchiks.