Pourtant, elle excelle à y décrire les ressorts subtils du couple, ainsi que la beauté de la nature consolatrice, thème cher à son cœur et très présent dans ses œuvres.
Ce nom, qui signifie "consolateur", aurait été donné à l'un des descendants pour la générosité et la philanthropie dont il aurait fait preuve envers le peuple en période de guerre.
La forme est essentiellement celle du dialogue fictif entre l'affligé et un consolateur (ami, allégorie, une part de soi) ou de l'adresse (lettre, poème).
Le ton dominant ici est cependant celui d'une complainte, le poète voguant entre regrets, rêveries consolatrices et la dure acceptation d'un présent douloureux.
Songe consolateur, relayé par les paroles de l'évêque, évoquant le fils de ces larmes, comme si les pleurs étaient un mode d'enfantement ou de régénération.