Quand ils entamaient les coplas (figures de danses), la crécelle était tourné vers le haut, et quand tout le monde chantait, la crécelle semblait ralentir, accompagnant le guancha.
La tradition orale a gardé de cet espace une perception essentiellement auditive, en commençant par les simples frappements sonores, les cliquetis des cliquettes et le tintement des crécelles.
Dans les villages jurassiens, la tradition voulait que durant ces trois jours, les enfants, réunis en cortège, remplacent les cloches en actionnant des crécelles et des caquiats.