À cette époque la commune vivait pratiquement en autarcie, de l'élevage, de la polyculture, du fourrage, des ressources naturelles (chasse, pêche, braconnage, cueillette).
Les nomades qui pratiquaient la monoculture de l'igname et la cueillette vers 1850 se sont transformés en paysans sédentaires, pratiquant une agriculture itinérante sur brûlis.