Très critiqué pour sa responsabilité dans la déconfiture de l'établissement, il annonce le 9 janvier 2009 sa démission avec effet immédiat de sa fonction de « conseiller spécial » sans responsabilité exécutive.
À l'approche des élections générales anticipées des 27 et 28 mars 1994, il renonce à se porter candidat à un quatrième mandat et quitte le PSI, alors en pleine déconfiture.
La déconfiture de la banque et la perte d’un procès de famille assez important le laissèrent sans autres ressources que celles qu’il pouvait tirer de son talent.