Malheureusement, les scientifiques restés au sol découvrirent que le tueur était lui aussi condamné: son corps finirait forcément par dégénérer et par détoner le 13 mars de l'année suivante.
Lorsqu’il est plongé dans l’eau, il réagit violemment en produisant du dihydrogène qui peut s’enflammer, voire détoner, en présence d’oxygène et d’une source de chaleur.