Plusieurs personnalités éminentes de l’aristocratie furent impliquées, et ces affaires installèrent un climat hystérique de « chasse aux sorcières » et aux empoisonneuses.
Pour l’occasion, on les revêtit, avec de la toile de sac, de « chemises rouges » - d'où le nom -, tenues d’infamie réservées jusqu’alors aux assassins et empoisonneurs.
Il fallait désormais être plus soigneux et mieux organisé pour déjouer les techniques désormais opérationnelles employées contre les apprentis empoisonneurs.
Cette femme n'est même pas classable dans la catégorie des empoisonneurs populaires contrairement à cette étiquette collée comme acquise par plusieurs journaux.