Encore en 2011, on peut constater que la forêt tasmanienne, aux écosystèmes hautement endémiques, est mise en coupe réglée par un exploiteur de bois privé.
Engels critique dans cet ouvrage le caractère inhumain du capitalisme qui transforme les exploiteurs en une classe profondément immorale et intérieurement rongée d'égoïsme.