En 1924, il tente de nouveau une expérience avec de la scopolamine et, comme précédemment, découvre un état mental différent chez ses patients, rendus plus impressionnables et spontanés.
Les petits vampires le traitent méchamment car contrairement, à ce qu'ils pensaient le loup-garou n'est pas du tout effrayant et est même facilement impressionnable.