Selon elle, « le film évite le piège de la mièvrerie » malgré « une musique omniprésente » et « quelques plans artificiels embellissant une nature qui n'en a vraiment pas besoin ».
Vous vous trouvez dans un merveilleux et chatoyant univers, chaud en couleurs et débordant d'une mièvrerie aussi guimauve et indigeste que les gentillets personnages qui le peuplent.
Malgré des titres parfois très fleur bleue, ses romans sont loin d'être des mièvreries à l'eau de rose, mais des explorations fouillés sur la difficulté à grandir.