À cette époque en effet, les moteurs précédents, à l'exception de celui ayant propulsé le missile V2, étaient tous alimentés par pressurisation des réservoirs.
Dans les nouveaux avions supersoniques, le temps passé à ces vitesses aurait été beaucoup plus long et les missiles auraient dû accélérer une fois lancés.
Ces missiles seront moins susceptibles d'êtres attaqués que la flotte de bombardiers existante, notamment leurs futures versions lancées à partir de silos souterrains.