Ces pratiques nouvelles tendent à favoriser le commerce intérieur : tout échange d'une dokima à une autre entraîne une moins-value provoquée par le change.
C'est une moins-value nette si elle tient compte des frais divers (achat, vente, conservation, etc.) encore que ceux-ci puissent aussi être imputés sur les revenus courants (intérêts, dividendes, etc.).
C'est soit une « moins-value réalisée » si elle est matérialisée, soit une « moins-value latente » (à enregistrer comptablement) tant que l'actif n'est pas vendu.