Le magistrat lui enjoint de ne rien révéler car, si la vérité éclatait publiquement, il serait obligé de poursuivre 38 personnes pour non-assistance à personne en danger.
Les juges d'instruction ne prononcent aucune mise en examen, les trois gendarmes étant placés sous le statut de témoins assistés pour « non-assistance à personne en péril ».
Leur acharnement porta ses fruits : en 2008, deux anciens patrons des chantiers navals ont été condamnés pour « homicide, blessure involontaire et non-assistance à personne en danger ».