Aux alentours de ses cinquante cinq ans, vers 1927, il souffre de façon plus aiguë des ophtalmies et céphalées qui ne l'ont pas quitté depuis l'enfance.
Elle est appelée « cécité des neiges » ou « ophtalmie des neiges » dans ses formes extrêmes, parce qu'elle se produit couramment en altitude ou en milieu polaire.