La faculté comporte alors douze chaires dont trois concernaient les sciences pharmaceutiques (chimie, botanique et histoire naturelle des médicaments, pharmacie).
Cet exemple montre l'importance des comportements non pharmaceutiques, socioculturels, dans la transmission d'un virus alors inconnu à partir d'une espèce animale.
Ainsi l'industrie pharmaceutique consacre 0,2 % de sa recherche à la tuberculose, alors que cette dernière représente 18 % des maladies à l'échelle mondiale.