Il a gardé un cas génitif-datif distingué par des désinences et un cas vocatif partiellement distingué morphologiquement, ainsi qu'un plus-que-parfait synthétique.
Le passé surcomposé reprend les fonctions syntactiques d'un plus-que-parfait, mais il est généralement évité dans des situations où sa formation est ressentie comme trop lourde.
Lors de l'emploi de verbes perfectifs, il n'y a plus d'expression de témoignage d'action mais une expression d'humeur, de plus-que-parfait ou d'autres aspects perfectifs.