Au moment de la séparation en 1927, on recense 3 boulangeries, 3 boucheries, 1 charcuterie, 1 poissonnerie, 3 laitiers éleveurs, 12 épiciers, des horticulteurs, etc.
Les oursins violets sont cependant peu représentés dans les poissonneries parisiennes, car ils supportent moins bien le voyage que leurs cousins atlantiques.