Avant cette date l'héritier du trône ne portait que le titre d'infant, parfois d'infant primogènit (« premier-né ») pour souligner sa place dans l'ordre de succession.
Parmi ces sujets sont également traités, entre autres, l'idolâtrie, le prêt à intérêt, le rachat du premier-né, et l'interdiction de se faire un tatouage.