Il gouverne avec l'appui de certains députés protectionnistes, mais n'a pas non plus de majorité solide, et doit démissionner après moins de quatre mois.
En 1892, redevenu simple député, il prône des mesures protectionnistes pour protéger l'industrie en tant que président de la commission parlementaire sur l'industrie.
Il conduit une politique de grands travaux, nationalise les ressources pétrolières, instaure des mesures protectionnistes et favorise les réformes sociales.
La conférence se conclut sur un rejet de la notion de multifonctionnalité, une majorité de pays lui reprochant un caractère potentiellement protectionniste.
Après la réduction des droits de douane, les désirs protectionnistes des pays ont conduit à l'introduction de nouveaux obstacles non tarifaires aux échanges.