Ce sont cette fois les libéraux qui lui reprochent sa politique d'équilibre et de maintien de l'unité, qu'ils considèrent comme de la pusillanimité, voire une forme de trahison.
Pour pallier ce qu'il perçoit comme de la pusillanimité, il envoie de nouvelles instructions le 2 décembre 1908 pour amener les évêques à prendre des mesures concrètes.