Cependant, les habitants déchantent quand ils apprennent que les droits seigneuriaux sont maintenus, et rachetables, à condition que le seigneur détienne l'acte original fondant ses droits.
Toutefois, les droits féodaux sont déclarés rachetables le 15 mars 1790, et leurs détenteurs ne sont pas tenus d'en prouver l'origine, ce qui, en pratique, conduit à leur maintien.
En contrepartie, le défunt laisse à la fabrique une rente perpétuelle et non rachetable de douze livres, à prendre sur une pièce de terre de trois arpents et demi.