La poursuite alléguait que certaines stations locales avaient pris le pas sur l'émission, ce qui réduisait la portée de la publicité de l'entreprise de stylos.
La rue est de longue date utilisée pour faire de la publicité, de façon fixe (pré-enseignes et enseignes) ou mobile (« homme-sandwich », distributeurs de tracts...).
La polémique sent au fond le marronnier journalistique, probablement de bonne foi, sur lesquelles les maisons de disques comptent pour assurer leur publicité.
Pour les suivantes, les éléments apparemment annexes (timbres, cachets postaux, autographe, publicité) peuvent devenir prioritaires dans l'estimation (qui relève alors plutôt de l'histoire postale).