Rapidement cependant ces pistes tombent en désuétude, faute d'entretien, mais aussi en raison du développement du revêtement en macadam des principales chaussées.
Il constate aussi, dans ses mémoires, qu'en 1605 on continuait à « réparer, relever et raccommoder les pavés, chemins, chaussées, turcies, levées et voies publiques, et construire de nouveaux ponts ».